Investir dans l'immobilier : pourquoi c'est le moment idéal

La rareté crée des opportunités pour des rendements plus élevés

Une loi économique simple : la diminution du nombre de permis de construire conduit à une rareté structurelle sur le marché immobilier, entraînant ainsi une hausse des prix. Roel Helgers souligne : « Le Baromètre de la Construction Neuve confirme que la baisse du nombre de permis de construire entraînera dans les années à venir une offre plus restreinte. Cela crée une demande croissante, offrant aux investisseurs l'opportunité de profiter de la hausse des prix et de rendements plus élevés à l'avenir. » En somme, pour les investisseurs, c'est le moment idéal pour entrer sur le marché, avant que la rareté ne s'accentue et que les prix n'augmentent davantage.

Des disparités locales offrant des opportunités d'investissement

Au cours des cinq dernières années, le Baromètre de la Construction Neuve a révélé des variations significatives dans l'évolution des prix de l'immobilier neuf, avec des écarts allant de -9 % à +80 % selon les communes. Les investisseurs peuvent actuellement cibler des villes à fort potentiel de croissance, telles que Courtrai (+37,5 %), Liège (+37,0 %) et Uccle (+36,4 %). Ces disparités locales sont notamment influencées par les politiques d'habitat des administrations locales et les investissements dans les infrastructures et les espaces publics.

Vieillissement de la population : Avec une proportion croissante de personnes âgées, il y a une préférence accrue pour des logements plus petits et plus accessibles.
Augmentation du nombre de personnes seules : La hausse des ménages composés d'une seule personne entraîne une demande accrue pour des unités d'habitation plus compactes.
Besoins en densification urbaine : Les politiques visant à optimiser l'utilisation de l'espace urbain favorisent la construction d'appartements dans les centres-villes.

Roel Helgers, économiste de marché, observe : « Ces tendances créent un marché locatif stable avec une large clientèle. L'année dernière, en Flandre, 36 000 logements ont été construits, dont les trois quarts étaient des appartements. Dans une commune sur huit, le nombre d'appartements dépasse désormais celui des maisons, un chiffre qui a doublé depuis 2014. »

Cette tendance est particulièrement marquée dans les centres urbains et les communes côtières, où la demande pour des logements compacts et bien situés est élevée. Par exemple, dans la province d'Anvers, 37 % des habitations sont des appartements, illustrant la prédominance de cette évolution.

Pour les propriétaires, cela représente une opportunité significative, car la demande locative pour des appartements bien situés et de qualité reste forte.

La baisse des taux d'intérêt stimule la demande immobilière

Au troisième trimestre de 2024, le marché immobilier en Flandre a connu une augmentation de près de 6 % par rapport à la même période l'année précédente. Cette reprise est en partie due à la diminution des taux d'intérêt sur les prêts hypothécaires, facilitant le financement tant pour les jeunes acheteurs que pour les investisseurs expérimentés.

Notamment, la proportion d'acheteurs de moins de 30 ans a atteint 30 %, contribuant à la hausse de la demande de maisons et d'appartements. Cette dynamique positive se traduit par une augmentation des prix sur le marché immobilier.

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